Message de sympathie

  • La vie qu’il a vécue, quoique trop brève, fut remplie de fougue et de passion.  L’intensité qui le caractérisait, avec une sensibilité hors du commun, vont me manquer.  J’ai eu le privilège de partager avec lui des moments riches en expériences et en émotion, et je ne peux me consoler qu’en pensant que son trop court séjour ici-bas fut vécu pleinement.  La flamme dans ses yeux et son rire communicateur resteront gravés dans mon coeur.
    Recevez mes meilleurs pensées, en espérant que les bons souvenirs vont nous aider à apaiser peu à peu une perte dont on ne pourra se consoler.


  • Le héros de mon enfance…
    Parmi les meilleurs souvenirs de mon enfance, ceux reliés à la famille Gosselin lorsqu’ils résidaient à Trois-Rivières, sont parmi les meilleurs.
    Au sein de cette famille il y avait une énergie particulière et Marc était très différent des jeunes de son âge. Pour moi, il s’est rapidement imposé comme mon Héros.  Et comme tout héros, en plus de son grand cœur, de son sens de la justice, de son amour pour la nature,  il avait des pouvoirs,  en autre celui de la séduction. Vêtu de sa veste à franges, et chaussé de ses bottes de cow-boy, il incarnait à mes yeux, un modèle d’aventurier, c’était en 1969…
    Plusieurs années ont passées entre nos rencontres et à  chaque fois que je l’ai revu, il n’avait pas perdu son enthousiasme, sa passion pour la vie qui l’on mené dans bien des aventures.  Nos discussions reprenaient facilement là où on les avait laissé comme ce soir de tempête à Montréal où le hasard nous à réuni le temps d’un souper au café Cherrier.
    Durant la maladie d’Antoine, atteint de leucémie, le soutien si précieux de Marc et de Dominique, nous ont profondément touchés Josée et moi. Nous n’oublierons jamais cette magnifique soirée où Antoine à chevauché le Danois que Marc avait à cette époque et qui enfin a fait jaillir des étincelles de joie des yeux d’Antoine.
    Tout ces souvenirs et bien d’autres sont bien vivants à mon esprit et le demeureront à jamais car les véritables héros ne meurs jamais.
    À Marguerite, Robert, Dominique, Suzanne et aux autres membres de la famille puissiez vous trouvez en votre cœur, malgré  cette immense souffrance,  un espace de paix et d’amour.
    François Labbé et Josée Bilodeau


  • J’aurais voulu le revoir une dernière fois avant qu’il nous quitte, il m’aurait embrasser avec fougue et rit de notre histoire;
    J’aurais voulu lui présenté mes enfants, il les aurait trouvé beaux et il aurait souri;
    J’aurais voulu écouter Moustaki, Tracy Chapman, il aurait mis ma tête sur son épaule et aurait souri;
    J’aurais voulu marcher dans sa forêt, il se serait étendu sur la mousse et aurait regardé le ciel en souriant;
    J’aurais voulu célébrer son anniversaire le 27 et lui dire que nous sommes encore tellement jeunes à 54 ans, il aurait encore souri;
    Marc le téméraire, le justicier, l’amoureux, le fougueux, mon héros à moi aussi.
    Je t’aimerai toujours.


  • Les souvenirs resteront toujours.Avec Mark que de beaux souvenirs. Il nous accompagné  moi et 3 autres tunisiens durant un stage d’un mois au collège Lionel Groulx de Montréal en 1991. De la disponibilité , de la gentillesse et des valeurs humaines , un vrai citoyen du monde . Qu’il repose en paix et que dieu lui accorde son infinie miséricorde .  Nos profondes sympathies à toute sa famille.