Quelle tristesse d’apprendre que Claudette, votre précieuse maman, ma tante drôle et toujours accueillante et la cousine et belle-sœur de ma mère nous a tous quittés si rapidement. Mais cela me fait penser, quand lorsque nous étions plus jeunes, quand matante Claudette décidait qu’elle partait, mon oncle Robert avait intérêt à être prêt « Robert, lèves-toi, on s’en va !
C’était le beau temps, de l’enfance pour nous et de la jeunesse pour nos parents.
Claudette, comme Robert et papa (Camill) partent en nous laissant tous plus riches des ces souvenirs et de leur trop courte présence, malgré tout.
Les filles, mes cousines de l’enfance Sylvie, Chantal et Danielle recevez mes plus sincères et attristées condoléances. Mireille à Camille